Portrait d’un coworker: mais qui es-tu Martin?

Si vous êtes de passage au Mug Enghein le lundi et/ou le mardi, vous aurez peut-être la chance de croiser Martin, fondateur de la société Successio, et sa collaboratrice Lauranne. Ils travaillent aussi au Mug Schuman le mercredi. Mais oui: ils sont partout ces deux-là! 

Martin, licencié en droit et en notariat, a lancé Successio en 2016 après avoir travaillé 13 ans en banque où il s’occupait des plannings successoraux de ses clients.

C’est quoi Successio?

L’entreprise accompagne administrativement les familles touchées par le décès. « En fait, il y a trois ans, ma grand-mère est décédée et on m’a dit ‘Tu vas t’en occuper’, mais je ne m’étais jamais occupé de l’après-décès. Je me suis donc plongé là-dedans pour me rendre compte qu’il y avait un vrai monopole des notaires pour ces affaires. »

Quelle était ta motivation pour ouvrir cette entreprise?

« De montrer qu’on n’est pas obligé de passer par un notaire, justement!

Chez Successio, on a une approche plus humaine, on se déplace chez les gens, on les écoute et puis on explique les choses dans un langage simple. Nos honoraires sont raisonnables et plus transparents.

Pourquoi avoir choisi un espace de coworking pour t’établir?

« Pour la petite histoire, j’ai acheté un bureau à Enghien, mais il y a eu quelques problèmes techniques. Maintenant, il est à nouveau opérationnel, mais je compte le revendre et rester en coworking. J’habite Silly, tout près d’Enghien, et mes rendez-vous sur Bruxelles sont placés le jour où je me déplace au Mug Schuman. Les autres jours de la semaine, nous travaillons un peu partout en Wallonie. Le coworking, c’est parfait pour mon activité.

J’adore travailler au Mug: le café est bon et le Wi-Fi aussi. Et puis, il a cette souplesse dans les horaires.

Par exemple, le mercredi, ma fille est dans les chœurs d’enfants de la Monnaie. Donc je bosse ici jusque 20h et puis je passe la chercher. Comme c’est ouvert 24h/24, ça nous permet d’adopter le rythme qu’on veut. » On vous en parlait dans cette interview, Martin a en outre fait appel aux chèques-coworking pour réduire le coût de son abonnement.

Pas trop compliqué de transporter toutes tes affaires?

« Non, au moins, ça nous force à tout digitaliser. Bon, parfois, on planque quelques dossiers au Mug, mais rien de dérangeant ».

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