Portrait d’un coworker: Charlélie Dagnelie

The Mug, c’est une grande famille… qui en accueille une autre. Charlélie Dagnelie travaille dans notre coworking d’Enghien. Avec son papa, au sein de leur atelier: Quercus Architecture

L’aventure de l’atelier Quercus a commencé dans la maison familiale, à quelques kilomètres d’Enghien: « Au tout début, les bureaux étaient chez nous. Mais un jour, j’ai eu besoin de travailler autre part… et je me suis inscrit au Mug, pour y poser mon ordinateur un jour par semaine », nous raconte Charlélie (avec la même banane qu’il affiche sur ce selfie, donc). « Ça faisait du bien de rencontrer des gens. Et puis, j’avais beaucoup étudié le concept de coworking pendant mes études et j’avais envie de le vivre en pratique. »

Rapidement, la famille s’agrandit et Quercus Architecture accueille deux nouveaux collaborateurs. Charlélie et son père décident alors d’investir un des bureaux du bâtiment d’Enghien.

Pourquoi avoir installé vos bureaux au Mug Enghien?

« C’était super pratique pour nos collaborateurs, qui viennent parfois de Bruxelles, puisque le coworking se situe près de la gare. On voulait leur offrir l’opportunité de venir travailler en train qui permet de se détendre, d’éventuellement travailler et d’arriver de bien meilleure humeur qu’après une matinée dans les bouchons. C’est aussi plus écologique. On aime aussi savoir qu’on a un pied-à-terre à Bruxelles, avec les espaces de Schuman et Flagey, pour rencontrer des clients. »

Quels sont les avantages purement professionnels du travail en coworking?

« Les rencontres! C’est au Mug que j’ai rencontré Aurore, architecte d’intérieur. On s’est bien entendus et on a fini par collaborer, car nous sommes complémentaires. On l’aide pour des missions qui nécessitent d’acquérir des permis d’urbanisme, et elle gère le créneau architecture intérieur de notre atelier. Aujourd’hui, elle travaille deux jours par semaine pour nous. »

Il y a beaucoup d’architectes au Mug! Comment expliques-tu ça?

« Le métier implique beaucoup de mouvements, il faut à la fois faire du travail de bureau et être sur chantier, et du coup bouger en voiture. Selon moi, l’avenir du métier n’est pas de démultiplier les implantations d’un seul bureau mais de permettre aux collaborateurs de travailler à proximité des chantiers. Le coworking se prête idéalement à cette méthodologie de travail. »

Travailler avec son papa: pas trop difficile à gérer?

« C’est chouette, mais il y a plus d’exigences: un parent en attend beaucoup de son enfant, et vice-versa. Quand les choses ne se passent pas comme prévu, la tension peut monter plus vite. Être dans un espace partagé permet de se canaliser, de mieux communiquer. Quand on travaillait à la maison, c’était plus difficile de séparer correctement vie professionnelle et vie privée. »

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